La grande ressemble à sa mère
Et la petite à son père,
Autant physique que caractère,
De ces deux puces j’en suis fier.
Ma douce arwën, tendre princesse,
La plus sensible de mes filles,
Tu as acquis l’esprit des elfes,
Etoile du soir qui sans cesse brille.
Ma belle eowyn, petit ouragan
Toujours en quête de nouvelles sensations,
Tu as l’âme d’une aventurière à trois ans
Et déjà fière comme un lion.
Le jour se lève je les regarde dans leur lit.
Le soleil illumine leurs visages endormis.
Elles vont bientôt se réveiller et me sauter dans les bras.
Et comme la veille en se couchant me diront « je t’aime papa ».